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Date de création : 03.01.2010
Dernière mise à jour : 07.12.2022
821 articles


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Des apparitions de la Vierge Marie à Neubois

Statue de la Madone au-dessus du village de Neubois

L'endroit où eurent lieu les apparitions est à deux kilomètres du village de Neubois, appelé à l'époque Krüth, à mi-hauteur de la montagne, et à égale distance des ruines duchâteau du Frankenbourg. Il y a à l'endroit une vaste clairière, au milieu de la forêt, d'où l'on jouit d'un magnifique panorama. D'un côté on aperçoit la commune de Scherwiller et lechâteau de l'Ortenbourg. Avant d'entrer dans la clairière, on voit du regard de nombreux villages, dont ThanvilléSaint-Pierre-Bois et l'église de Saint-Gilles perchée un peu au-dessus des deux villages. Plus haut on aperçoit les cimes de l'Ungersberg. D'un autre côté on voit le Val de Villé parsemé de villages. Aujourd'hui à la clairière se trouve une statue de la Marie (mère de Jésus), une statue de l'Archange Saint Michel terrassant le dragon, une petite statue de saint Joseph, une chapelle avec une grande croix et un chemin de croix avec ses douze stations. C'est à cet endroit que serait apparue la Sainte Vierge. En 1872, quand commencèrent les apparitions, l'Alsace était annexée à l'Allemagne depuis plus d'un an et le nom le plus usuel du village était celui de Krüth. A la vérité le village a trois noms: Neubois, Krüth, Gereuth est le nom allemand.

Dans le contexte de l'occupation allemande et antireligieux2 de l'époque, un Alsacien se rend en Italie et rencontre une mystique nommée Palma-Maria-Addolarata Matarelli (1825-1888) d'Oria3, plus tard religieuse de Notre-Dame des Douleurs, et lui parle de l'Alsace-Lorraine. Elle lui répondit qu'il arrivera bientôt des choses merveilleuses : "...une apparitions en juillet 1872 doit avoir lieu en Alsace-Lorraine".

Le dimanche 7 juillet 18724 en date de la fête du Précieux Sang, la Vierge Marie apparait tout d'abord à l'office du soir dans l'église Saint-Nicolas de L'Hôpital à Marie Françoise Clémentine Girsch, âgée de onze ans567.

Elle décrit l'apparition comme une belle femme aux cheveux blonds et longs, portant une couronne sur la tête. Sa robe blanche est brillante. La Vierge Marie tend ses bras en avant. Dans sa main droite elle tient une boule blanche d'où tombent des gouttes d'eau, dans sa main gauche elle tient une boule noire d'où tombent des gouttes de sang. À sa droite se tiennent des soldats français, à sa gauche se trouvent des soldats armés d'épées.

À L'Hôpital (Moselle) qui portait le nom de Spittel in Lothringen ces événements sont restés très discrets. Clémentine Girsch est qualifiée selon les rapports de l'époque de petite fille sage, posée et réservée. Elle restera très discrète sur ces événements. Elle est née le 3 décembre 1861 à Carling. Le 9 février 1880 elle épouse à L'Hôpital, Ambroise Renard, instituteur et maire de Carling (1855-1941) et sera mère de deux enfants. Elle décèdera à Strasbourg le13 janvier 19448.

Le même jour à Neubois, cette même apparition se manifeste à quatre fillettes âgées de 7 à 11 ans qui se promènent au pied d'une montagne appelée Schlossberg, à la recherche de myrtilles 9 . Soudain, une dame blanche portant sur la tête une couronne d'or, s'avance vers elles. Effrayées, elles s'enfuient à toutes jambes. C'est la première apparition de toute une série qui mettra en émoi le paisible village de Neubois.

Le 11 juillet 1872, la Vierge Marie apparaît de nouveau sous la même forme dans la forêt de Neubois à Philomène Jehl (10 ans), Sophie Glock (11 ans), Marie Flick et d'autres enfants de l'école. Elles entendent une voix fine dire: « Kommet, Kommet! » (Venez, venez!). Le 12 juillet la troisième apparition se manifeste à certaines filles d'un groupe accompagné d'une religieuse qui est aussi leur institutrice, sœur Madeleine. Le 14 juillet 1872 l'apparition guide 6 filles dont Odile Martin vers le sommet du Frankenbourg, chemin de La Vancelle. Le 15 juillet 1872 tout un groupe d'enfants et d'adultes assiste à une appartion de la Vierge qui les appelle de nouveau: « Kommet, Kommet! » (Venez, venez!) en direction du château de Frankenbourg. Un vent violent se lève et on entend un son de cloches. D'autres apparitions miraculeuses vont suivre. Une petite chapelle provisoire sera érigée sur les lieux. Le Kreisdirektor envoie un détachement de 50 soldats surveiller l'emplacement. Le 7 septembre 1872, la police abat la chapelle ainsi que l'autel et défend aux fidèles l'accès aux lieux. Le 8 septembre 1872 on assiste à une première guérison miraculeuse d'une jeune fille très malade. D'autres apparitions et guérisons vont avoir lieu malgré l'hostilité de l'autorité prussienne qui fait afficher un panneau:

« L'accès sans autorisation du district 272829 est, par la présente, interdit selon l'article 368 du code pénal avec une peine allant jusqu'à 75 francs et un emprisonnement jusqu'à 15 jours. »

Le 11 septembre 1872, sœur Madeleine est expulsée par les autorités et doit quitter Neubois. Le 14 octobre 1872 un soldat prussien a une vision de l'enfant Jésus. Les apparitions continuent. L'évêque de Strasbourg MonseigneurAndré Raess est informé de par une lettre de l'apparition de L'Hôpital et de celles du Frankenbourg et reçoit lui-même un témoin des apparitions du Neubois. Il reste réservé et prudent. Le 11 novembre 1872 l'abbé Hotzmann, curé deVillé note: "les apparitions sont de plus en plus fréquentes". De nombreux pèlerins viennent sur les lieux. Pour la seule journée du 3 février 1873 on comptera 6000 pèlerins. Le 4 mars 1873 les autorités prussiennes s'inquiètent de cette affluence et envoient un détachement de 150 soldats interdire l'accès des lieux. Dans les jours et les mois qui suivent, d'autres enfants, mais aussi des adultes, sont persuadés d'avoir vu la Vierge Marie ou aperçu "la dame blanche", seule ou entourée d'anges ou ... de soldats. La nouvelle de ces phénomènes extraordinaires se répand comme une traînée de poudre dans toute l'Europe centrale et méridionale, mais surtout en Allemagne et en France.

Un des lieux d'apparition s'appelait Krittacker, acker veut dire champ. Le village était semble-t-il situé plus haut dans la montagne.

La montagne des apparitions]

Les différents endroits où les apparitions eurent lieu sont situés en dehors du village sur le flanc d'une montagne au sommet de laquelle on aperçoit le château du Frankenbourg situé à 703 mètres d'altitude. Cette montagne est couverte de bois jusqu'au sommet. Il faut d'ailleurs faire une distinction entre les deux noms: Frankenberg est le nom de la montagne et Frankenbourg est le nom du château. Le château du Frankenbourg date de l'époque féodale et a été construit suivant les principes militaires du xie siècle. Cela n'exclut pas l'hypothèse qu'un autre château ait pu exister antérieurement au même endroit à l'époque franque. Ce qui est certain, c'est l'existence d'une forteresse sur la montagne du temps des Romains. Des monnaies constantiniennes trouvées au Frankenbourg entre deux enceintes prouveraient que les romains auraient aménagé un système défensif confirmant ainsi la position stratégique du lieu et l'opportunité de fortifications. Il est probable que lors des combats opposant Francs et Alamans ces derniers ont utilisé les constructions romaines qui existaient à cet endroit. La tradition veut que ce soit Clovis qui a fait construire le château du Frankenbourg et que son épouse Sainte Clotilde y ait prié pour obtenir la victoire de son mari pendant la bataille de Tolbiac. Plusieurs historiens ont attesté cette version. L'abbé Nartz a écrit "Sigebert cousin de Clovis qui régnait à Cologne, appela à son secours contre les envahisseurs le roi des Francs Saliens Clovis. La bataille s'engagea près de Tolbiac (Zulpich) selun les uns, près d'Argentorate pour les autres. Le Tolbiac serait d'après certains historiens près de Cologne, pour d'autres près de Strasbourg. Ces diverses hypothèses conduisent à penser qu'il pourrait y avoir plusieurs Tolbiac et de ce fait il est souvent difficile dans les brumes du passé d'identifier le lieu réel des combats d'autrefois. Certains ont même avancé le nom de Scherwiller à des traces de bataille ont été trouvées comme l'emplacement probable du véritable Tolbiac10.

Ces événements des apparitions sont relatés abondamment dans la presse locale et nationale et repris dans des brochures, ce qui ne fait qu'amplifier le phénomène. Neubois connaît alors une affluence populaire extraordinaire; au mois de janvier 1873, la Reichsbahn vend plus de 80 000 billets de chemin de fer à destination du Val de Villé.

Petite chapelle au-dessus du village de Neubois

Une source à l'eau miraculeuse" est découverte. Plusieurs personnes prétendent avoir été guéries. Les conditions sont donc remplies pour que Neubois devienne le Lourdesalsacien!. Cette arrivée massive de gens commence à inquiéter l'administration allemande surtout que ces apparitions se teintent d'allusions et de propagande politiques: laSainte Vierge viendrait pour libérer l'Alsace du joug prussien! A Paris est éditée, en 1874, une brochure au nom évocateur: "La résurrection de la France et le châtiment de laPrusse, prédits par Marie en Alsace". L'armée est chargée d'interdire l'accès du lieu des apparitions, puis de l'ensemble du ban communal. Les autorités religieuses restent très prudentes et sceptiques et conseillent la même attitude au chargé d'âmes de la paroisse, notamment à l'abbé Michel Ulrich qui recueille, avec une certaine naïveté, les témoignages des "voyantes" de sa paroisse. Le curé Alphonse Adam, qui lui succède en novembre 1876, puis l'abbé Boersch, à partir de 1879, prêtent une oreille moins attentive aux dépositions des visionnaires qui se font plus rares; par un patient et minutieux travail d'enquête, ils réussissent à montrer que ces apparitions sont nées de l'imagination desenfants, qui les uns après les autres, se sont rétractés. Peu à peu le village retrouve sa sérénité. Aujourd'hui une petite chapelle rénovée s'élève dans la forêt, près de la source "Mudergottes Brennela"; elle rappelle aux promeneurs et aux pèlerins ces évènements "surnaturels". L'érection à Neubois, en 1883, de la "Confrérie du Rosaire Vivant", a-t-elle des liens avec ces apparitions ? De nos jours, le culte marial connaît dans le village une dévotion particulière et continue à attirer des pèlerins venus de près ou de loin11 et il reste de même à L'Hôpital (Moselle) une dévotion mariale particulière des habitants qui s'exprime par la construction d'une Grotte de Lourdes inaugurée le 3 octobre 195412

KRUTH ou NEUBOIS : les "apparitions" alsaciennes de la Vierge Marie

 

Elles sont méconnues, villipendées même, mais elles ont bouleversé tout un village, une région même en pleine période de troubles historiques, les apparitions de Neubois .  Niées à tel point  que  mêmes les Alsaciens ne savent plus grand chose. Prenant les livres et chaussant mes souliers, voilà le  reportage que j'ai livré aux lecteurs de la petite lanterne, l'an passé.

 Qui connaît le petit village de Neubois ? Le lieu dit « Kritt » (Krueth, Krüth, d’autres ouvrages le classent sous une de ces appellations)  personne ? 
Aujourd’hui sans doute, excepté quelques locaux et quelques initiés, tout le monde a un peu oublié les foules qui en calèche, à pied, en chemin de fer  (
80 000 billets vendus en janvier 1873 tout de même) à bicyclette grimpaient sur la colline à 700 mètres d’altitude, à l’ouest de Sélestat, sur le Frankenbourg, sur le canton de Villé, tout proche du Haut-Koenigsbourg et ceci malgré le vent et les frimas.

C’est ici, en effet qu’eurent lieu les seules « apparitions » mariales en Alsace. Même si des apparitions de dames blanches  ont été recensées en Alsace, aucune n’eut cette ampleur. Car de 1870 jusqu’en 1873 , la Sainte Vierge dite Notre-Dame du Frankenbourg (le lieu du mont) y est apparue des centaines de fois. Le nombre  complique sérieusement les recensions, des déclarations sérieuses et recoupées, excluent les hallucinations collectives, tandis que d’autres  s’en rapprochent. Mais le nombre de recensions, de témoignages confirment qu’il s’est bien passé quelque chose sur cette colline, au pire une escroquerie concertée (avec autant de témoins ?) une hallucination collective ?  Au mieux des phénomènes mariaux. Tout commence par des croix noires qui apparaissent sur vitres des maisons du canton, sans qu’il soit possible de les ôter, les vitres ont été cassées, refondues en pure perte en Alsace et en Prusse. Le tout se déroule dans une situation politique critique, la Prusse ayant repris possession de l’Alsace voit tout cela d’un mauvais œil. Les premières années furent assez délicates, la souplesse politique à l’égard de l’Alsace et les mouvements vers une Constitution alsacienne et un land alsacien dans l’empire de Prusse seront pour plus tard. (1911, Constitution, chant et drapeau alsaciens).

Quelques semaines plus tard, 7 juillet 1872, des enfants (4 fillettes de 8 à 11 ans ) cueillant des myrtilles grimpent sur le mont, dans la forêt,  croisent une lumière. Léonie Martin, affirme avoir vu une dame blanche, les autres s’enfuient, sauf Odile la cousine de Léonie. Elle porte une couronne jaune sur laquelle se détache une croix noire avec un Christ blanc. Les apparitions se multiplient. Tout s’accélère et échappe aux voyants à partir du moment où le lieu devient symbole de la résistance car l’une des voyantes a vu un glaive tournoyer au-dessus d’une armée de guerriers.  80 voyants le  31 juillet 1872 devant 2000 personnes, puis le 6 août. (Une cinquantaine d’enfants et d’adolescents, une trentaine d’adultes) et une soixantaine d’habitants des communes voisines. L’ouvrage de G. Lameire en fait une recension exhaustive. (Des pages 205 à 213, avec les dates, leur ville ou village de résidence) Le début ne semble pas du tout politique. 
Des interprétations ou des déformations font tenir aux voyants des propos sur la restauration monarchique. Un homme au manteau blanc, que voit la voyante,  donnera lieu à des interprétations, on le transforme en Henri V, mais il ne semble pas que ce soit l’enfant qui l’ait dit. Peut-être est-ce une allégorie d’un pays ? 
Des conflits à venir ?
Des traces subsistent actuellement encore, un site internet faisant le lien avec la bataille de Tolbiac et la Restauration française (comte de Chambord sous le nom de Henri V), certaines idées persistent décidément. On affirme même dans certains milieux  que ce lieu fut celui de la bataille de Tolbiac (Frankenbourg, alors que « frank » ne signifie pas bourg des francs, mais « libre ») entre francs et germains, alors que les deux peuplades étaient germaniques, ainsi que Clovis et Clotilde habitèrent le Val de Villé, rien que cela !

Plus sérieusement, le prêtre de la paroisse fut favorable aux faits, l’abbé Ulrich, l’évêque Mgr Raess plus réservé. Il recommande dès septembre 1872 la « prudence » et il veut éviter les conflits avec les « militaires ». Car les autorités grondent. Pour accéder au village, il faut un « pass »… Rappelons que les autorités prussiennes ont fait héberger (le coût n’était pas négligeable) par la population (en commençant par celle des « voyants ») des centaines de gendarmes afin de faire surveiller de nuit comme de jour le Frankenberg (le mont).  Avec des menaces pour les contrevenants. Le lieu fut un haut lieu de pèlerinage, la perte de l’Alsace médiatisée jusqu’à la capitale y contribua, on vendit des lithographies et images pieuses rue saint Jacques à Paris avec notre apparition à Krüth-Neubois !

Les apparitions n’ont pas été reconnues ou invalidées. Mais sous la pression des autorités, sous les menaces d’excommunication, sous la contrainte de peines de prison et de sanctions financières, certains voyants se sont rétractés. Il faut dire aussi que certains voyants  (la liste est longue) abusaient de leurs déclarations qu’ils monnayaient ou trafiquaient la vente de leurs prières. 28 se rétractèrent, certains à contre-cœur. Les apparitions cesseront en 1877. On est alors loin de la foule des années 1870 et du symbole de l’Alsace française que certains ont cru y voir ou pensé à l’interpréter.. 

Sur les lieux subsistent un lieu de pèlerinage dans la nature, avec un chemin de croix, une statue de l’archange St-Michel terrassant le dragon, une statue de la Vierge à l’Enfant imitation d’une vierge « campagnarde italienne, par le scuplteur Ledermann de  la vallée de Villé (précise l’auteur Lemaire),  un autel où est célébré à chaque assomption une messe solennelle, ainsi que plus haut une source en pleine nature. Des efforts pastoraux sont déployés afin d’en faire un lieu marial comme il en existe tant en Alsace, celui-ci étant un peu plus spécial que les autres.

(Bibliographie : * pèlerinage et piété populaire en Alsace par Marie-Thérèse Fischer, des mérovingiens à nos jours de Lauterbourg à Lucelle, édition du Signe, 2003,
* le récit complet figure dans « Apparitions en Alsace » par Gilles Lameire, Notre-Dame de Neubois, T.R.C, octobre 1978, bp 34 78103 Saint-Germain-en-Laye cedex, 
* Synthèse critique dans le dictionnaire des apparitions de la Vierge Marie de l’abbé Laurentin, et de Patrick Sbalchiero, Fayard 2007. (article sous Krüth-Neubois)

Commentaires (3)

CARLA-MARIE le 11/02/2014
Bonjour
C'est curieux, cet article est intérèssant, je connaissais pas cette légende, très bel article, j'aimerais bien m'y rendre, tout ce qui est de la spiritualité, j'aime beaucoup
Merci de cet article


myterieux le 11/02/2014
j'ai habité ce petit village,il ce trouve en alsace dans la vallée de villé a quelques kilomètre de selestat dans la bas-rhin,une très belle région. Il y a souvent des procession religieuse a la vierge marie . Bonne journée.
http://myterieux.centerblog.net


Samuel SUBIAS le 30/03/2018
"hommes de peu de foi"... il me semble que ce lieu méritait mieux que toute cette incrédulité païenne. il n’est pas très difficile ni très glorieux de faire renier les paroles d'enfants relatives à leur vision.


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