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Date de création : 03.01.2010
Dernière mise à jour : 07.12.2022
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VESTIGES ETONNANTS

L'EGYPTE ANTIQUE : UNE CIVILISATION SUPERBE EN TERMES ARTISTIQUES ET SCIENTIFIQUES

En tant que civilisation florissante, l'Egypte antique possédait plus de connaissance et d'expérience qu'il eut été possible d'imaginer, si elle avait été l'héritière ou la continuation d'une société primitive. Les Egyptiens croyaient en une religion déviante et païenne, tandis que leurs ouvriers étaient juifs. Le sens artistique de ces derniers trouvait ses origines du temps des Prophètes Noé et Abraham (pse). Ces hommes qualifiés firent le meilleur usage de ce qu'ils avaient appris du temps des derniers prophètes.

Les exploits des Egyptiens sont toujours inimités dans de nombreuses parties du monde. En Asie, en Amérique du Sud et en Afrique, et même en Egypte, le niveau de vie est encore bien inférieur à celui de la civilisation passée. La civilisation de l'Egypte antique ayant réalisé de grandes réussites en médecine, anatomie, planification urbaine, architecture, arts et textiles fait l'objet de recherches passionnées des scientifiques.


Les techniques de momification des Egyptiens démontrent leur degré avancé en sciences médicales.

Les origines de la médecine de l'Egypte antique

La sophistication de la médecine en Egypte antique est des plus étonnantes. Au cours de fouilles, des archéologues furent stupéfaits de découvrir une civilisation datant de 3.000 ans av. JC aussi développée.

L'analyse au rayon X des momies révélèrent que des opérations du cerveau étaient déjà effectuées à l'époque.43 En examinant les crânes opérés, on peut clairement voir que les incisions du chirurgien étaient nettes ce qui signifie qu'il disposait d'un matériel professionnel. D'après les soudures des os du crâne opéré, les patients survécurent longtemps après leur opération.44

Un autre exemple concerne les médicaments. La médecine du 19ème siècle fit des pas de géants grâce au progrès rapide de la science expérimentale, et à la découverte des antibiotiques. Pourtant le terme "découverte" n'est pas exact, car nombre de ces techniques étaient déjà courantes chez les Egyptiens.45

Les momies sont les preuves les plus significatives des connaissances scientifiques et anatomiques des Egyptiens. Ils utilisaient des centaines de techniques différentes de momification permettant aux corps des êtres d'être préservés pendant des millénaires.


M?s?r Firavunu Tutankhamun'un cesedi, içiçe geçen iki tabut içinde muhafaza ediliyordu.

Le processus de momification est hautement complexe. Au moyen d'instruments spéciaux, il fallait retirer le cerveau et les organes internes du défunt. L'étape suivante consistait à déshydrater le corps avec du natron pendant 40 jours. (Le natron est un sel minéral, un mélange de bicarbonate de soude et de carbonate de sodium avec de petites quantités de chlorure de sodium et de sulfate de sodium.) Une fois l'excès de fluides corporels éliminés, la cavité du corps était ensuite remplie de lins, de sable et de sciure. La peau était ointe de préparations d'herbes spéciales, puis couverte de résine liquide pour mieux la préserver. Enfin, le corps est soigneusement enveloppé dans des bandelettes de lin.46

Le processus de momification effectué sans le moindre dommage au corps (à l'exception de l'extraction des organes internes) montre le degré de connaissance en anatomie des Egyptiens.

En dehors de l'art de la momification, il y a 5.000 ans les Egyptiens étaient très avancés en médecine.

- Les prêtres impliqués dans la médecine traitaient de nombreuses maladies dans leurs temples. Les médecins étaient alors spécialisés en certains domaines comme les spécialistes d'aujourd'hui. Chaque médecin pratiquait dans sa spécialité.

- Les médecins étaient supervisés par l'état. Ainsi si un patient ne guérissait pas ou mourrait, l'état investiguait sur les causes et déterminait si la méthode de traitement était conforme ou non. Dans le cas d'une négligence du médecin, ce dernier était pénalisé dans le cadre de la loi.

- Chaque temple disposait d'un laboratoire équipé pour la préparation et l'entreposage des médicaments.

- Les premières étapes de la pharmacologie et l'usage de bandages et de compresses remontent à l'Egypte antique. Le Papyrus Smith (entièrement consacré à la médecine) décrit comment des bandes adhésives de lin -matériau idéal pour les bandages -étaient utilisées pour couvrir les blessures.

- Les découvertes archéologiques permirent d'avoir une représentation détaillée des pratiques médicales en Egypte. Des fouilles ont même dévoilé les noms et les titres de plus de cent spécialistes.

- Sur le mur du temple de Kom Ombo, est gravée en relief une boîte d'instruments chirurgicaux contenant des ciseaux, des couteaux chirurgicaux, des scies, des sondes, des spatules, de petits crochets et des forceps.

- Les techniques employées étaient nombreuses et variées. Les fractures étaient rétablies, les attelles utilisées et les blessures suturées. Des fractures soignées avec succès ont été découvertes chez de nombreuses momies.

- Bien qu'aucune trace de cicatrices chirurgicales ne fût trouvée chez les momies, le Papyrus Smith cite treize références à la suture. Cela indique que les Egyptiens maîtrisaient la technique en employant du fil de lin. Les aiguilles étaient très vraisemblablement faites de cuivre.

- Les médecins égyptiens étaient capables de distinguer les blessures stériles des blessures infectées. Ils préparaient un mélange de graisse de bouquetin, d'huile de sapin et de pois écrasés pour soigner les blessures infectées.

- La pénicilline et les antibiotiques furent découverts récemment. Les Egyptiens en utilisèrent les premières versions organiques et écrivirent des ordonnances adaptées à chaque maladie.47

En plus de la médecine, les Egyptiens s'intéressaient également à l'urbanisme et à l'architecture.


Le papyrus Smith décrit comment les Egyptiens fabriquaient les bandelettes de lin.

Métallurgie de pointe en Egypte antique

La métallurgie est la branche de la science et de la technologie impliquant le raffinage de matériaux bruts, le façonnage et la préservation des métaux et de leurs composés. Il y a 3.000 à 3.500 ans, les Egyptiens devinrent experts de l'extraction et le travail de différents minerais et métaux, particulièrement l'or, le cuivre et le fer. Leur expertise démontre qu'ils étaient spécialisés dans la recherche, l'extraction et le travail de minerais et qu'ils possédaient, par conséquent, de solides connaissances en chimie.

Les fouilles archéologiques révélèrent que les Egyptiens produisaient un travail détaillé du minerai de cuivre ainsi que des composés métalliques vers 3.400 ans av. JC. Durant la Quatrième Dynastie (vers 2.900 ans av. JC), la recherche et les opérations minières étaient dirigées par des responsables de haut rang et supervisées par les fils de Pharaon.

En plus du cuivre, les Egyptiens travaillaient le fer. L'étain était, par ailleurs, utilisé pour fabriquer du bronze et le cobalt pour colorer le verre. Sans compter les autres métaux non disponibles en Egypte et qui devaient être importés, le plus souvent de Perse.




1, 2) Pectoraux du roi finement travaillés gravés d'or, d'argent et de pierres semi-précieuses

(3) Une paire de fines sandales faites à la main

(4) Un petit pichet à long bec fabriqué en or a pu conserver sa solidité et son brillant.

 



(5) Cet ornement en or trouvé autour du cou de la momie de Toutankhamon reflète la finesse du travail du joaillier. Quelques 150 autres bijoux furent découverts sur la même momie.

(6) Une armoire en bois couverte d'or sur un traîneau plaqué en argent

La finesse des bijoux laisse imaginer la sophistication des outils utilisés par le joaillier. Sans un tel matériel, il est impossible d'obtenir ces résultats. La qualité et la délicatesse des bijoux égyptiens égalent ceux d'aujourd'hui.

(7) Un pectoral en or, en lapis-lazuli et turquoise découvert à Tanis

 

Le métal le plus utilisé et le plus apprécié était l'or. Des centaines de mines d'or furent découvertes en Egypte et dans des parties de l'actuel Soudan. Un papyrus datant du 14ème siècle av. JC contient les plans d'une mine près de Apollinopolis, soulignant le professionnalisme des Egyptiens en la matière. Le papyrus décrit la construction de plus de 1.300 habitations pour loger la main d'œuvre. Dès lors l'importance du travail de l'or et de la joaillerie en Egypte antique est manifeste. Des centaines d'objets décoratifs en or découverts lors de fouilles indiquent le degré d'expertise des miniers et des façonneurs de métal.

L'urbanisme et les infrastructures en Egypte antique


Antik M?s?rl?lar?n geli?mi? medeniyetinin en önemli göstergelerinden biri de hiç ?üphesiz mimari ve mühendislik bilgileriydi.

Le climat aride de l'Egypte a conservé de nombreux indices de la civilisation antique, notamment de ses infrastructures.

Des infrastructures hautement développées sont indéniablement le signe que leurs constructeurs étaient des architectes et des ingénieurs chevronnés. Les Egyptiens savaient parfaitement à quelle profondeur creuser des fondations souterraines, où positionner les poutres porteuses, comment concevoir un système de ventilation efficace, comment dessiner des voiries pour l'évacuation des eaux sales, comment acheminer de l'eau propre... Les bâtiments qu'ils laissèrent sont la preuve de leurs aboutissements.

Leurs techniques d'architectures datant d'environ 3.000 ans av. JC étaient extrêmement professionnelles et servaient à résoudre les problèmes des infrastructures. L'eau est essentielle pour un pays aussi aride que l'Egypte. Les Egyptiens trouvèrent des solutions permanentes à ce problème, notamment avec des citernes.

L'une d'entre elles est la vaste réserve d'eau découverte dans la dépression de l'oasis Fayoum. Les Egyptiens construisirent même des lacs artificiels afin d'assurer la vie dans des régions spécifiques. Ces petits lacs recevaient l'eau du Nil, rendant ainsi possible la vie dans le désert égyptien. Le lac Moeris, à 80 kilomètres au sud ouest de la ville actuelle du Caire, fut creusé dans le but d'y stocker l'eau du Nil grâce à un canal. C'est ainsi que des villages et des temples furent construits près de ce réservoir.48

Les connaissances des Egyptiens en médecine, urbanisme et ingénierie sont quelques-unes des preuves de leur degré d'avancement en tant que civilisation. Leur savoir et leurs entreprises réfutent une fois encore la thèse que les sociétés progressent d'un état primitif vers un stade civilisé. En somme, une civilisation vieille de plus de 5.000 ans s'avère plus avancée que des civilisations vivant aujourd'hui, ce qui est, bien sûr, inexplicable en terme de "progrès évolutionniste". Il n'y a par ailleurs aucun doute sur le fait que d'autres communautés vivaient dans des conditions primitives en même tant que les Egyptiens. Néanmoins, aucun de ces individus n'avait des traits d'homme inférieur ou des traits simiesques. Ils étaient, tout comme les Egyptiens et les hommes d'aujourd'hui, tout à fait humains à tous les égards.

Certaines communautés vivaient certes de manière plus arriérée, mais cela n'en fait pas pour autant des descendants des singes comme le soutiennent les darwinistes. Une telle interprétation est une violation de la science, de la raison et de la logique.


Exemples de lins datant de l'Egypte antique

Les exploits des Egyptiens dans le textile

A partir des fragments de lin qui ont survécu depuis 2.500 ans av. JC, on peut voir que les Egyptiens produisaient des tissus de haute qualité, de par les matières et le tissage. En 2.500 ans av. JC, on produisait en Egypte antique des fibres délicates du type de ceux que les machines sophistiquées produisent aujourd'hui, dont le linge servait à envelopper les momies. Le tissage délicat de ces tissus étonnèrent les égyptologues.49 Ces spécimens sont si fins qu'il faut utiliser une loupe pour les distinguer de la soie, et ce tissu n'a rien à envier au meilleur travail d'une machine à tisser actuelle.50 Aujourd'hui encore, ces tissus sont très prisés pour leur qualité. Le lin égyptien tissé aujourd'hui doit sa renommée aux tisseurs des années 2.000 av. JC.

Un niveau avancé en mathématiques


Rhind papirüsü

Les nombres étaient en usage depuis longtemps en Egypte antique ; des papyrus datant de 2.000 ans av. JC décrivant des problèmes mathématiques furent découverts. Les documents les plus importants sont les fragments Kahun, et les papyrus de Berlin, Moscou et Rhind. Ils présentent, avec des exemples, les bases sur lesquelles les mesures étaient effectuées. Les Egyptiens savaient qu'un triangle dont les côtés mesurent 3, 4 et 5 est un triangle rectangle et exploitèrent cette connaissance (aujourd'hui connue sous le nom de théorème de Pythagore) dans leurs calculs pour les constructions.51

Par ailleurs, ils connaissaient la différence entre les planètes et les étoiles. Ils ajoutèrent des étoiles, parfois difficilement visibles à l'œil nu, à leurs études de l'astronomie.

En raison de leur dépendance vis-à-vis du Nil, les Egyptiens devaient en mesurer le niveau pendant les inondations annuelles. Le souverain assignait la tâche à des responsables de mesurer la hauteur des hauts du fleuve grâce à un "nilomètre".52 Un nilomètre est un puits creusé à proximité du Nil, qui servait dans l'antiquité à mesurer le niveau du fleuve grâce à des repères gravés sur ses parois.

Une technologie du bâtiment pleine de secrets

Les mystérieuses pyramides sont les monuments les plus importants de l'Egypte ancienne, attirant des millions de visiteurs aujourd'hui encore. La plus majestueuse est la Grande Pyramide de Gizeh, considérée comme le plus grand édifice de pierre jamais construit. Les historiens et les archéologues, depuis l'époque d'Hérodote, ont avancé des théories sur le mode de construction de la pyramide. D'aucuns d'affirmer que des esclaves furent utilisés en combinaison avec des techniques, comme l'usage de la rampe ou d'une pyramide en terrasse. Voilà ce qui émerge des différentes hypothèses :

- Si cette pyramide avait été bâtie par des esclaves, alors leur nombre aurait dû être de l'ordre de 240.000.

- Si une rampe avait été construite pour bâtir la pyramide, il aurait fallu huit ans pour démanteler cette rampe une fois la pyramide terminée. Cette théorie est, d'après l'ingénieur civil danois Garde-Hanson, ridicule, car après le démantèlement des immenses blocs seraient restés. Or il n'en existe pas de trace.53

Estimant que Garde-Hanson avait pris en considération des aspects délaissés par d'autres théoriciens, Moustafa Gadalla, dans son ouvrage Historical Deception : The untold story of Ancient Egypt (Tromperie historique : l'histoire non racontée de l'Egypte antique), poursuit ainsi :

Essayez de visualiser ces chiffres étourdissants pendant votre visite de la pyramide : pendant 4.000 ans, des hommes produisant 330 blocs de pierres par jour dans les carrières. Pendant la saison des crues, 4.000 blocs sont transportés chaque jour sur le Nil, transbordés et tirés le long de la rampe jusqu'au plateau de Gizeh, et mis en place à un rythme de 6,67 blocs par minute. Imaginez 6,67 blocs toutes les 60 secondes !"54

- Par ailleurs, il ne faut pas oublier que la surface de chaque pyramide est de xx2,2 hectares acres. Donc quelques 115.000 pierres de revêtement furent nécessaires pour chaque surface. Elles ont été disposées de manière si scrupuleuse qu'une feuille de papier ne pourrait s'insérer dans l'espace entre deux pierres.55

Ces quelques objections indiquent simplement que les secrets des pyramides sont loin d'être résolus, même avec la science et la technologie du 21ème siècle.

DESFAITS FRAPPANTS
A PROPOS DES PYRAMIDES DE GIZEH

Des recherches effectuées sur les pyramides de Gizeh ont montré que les Egyptiens avaient des connaissances solides en mathématiques et en géométrie. Ils devaient également connaître les mesures de la Terre, sa circonférence et l'angle d'inclinaison de son axe. Ces données à propos des pyramides dont la construction commença autour de 2500 ans av. JC sont d'autant plus frappantes qu'elles furent construites quelques 2000 ans avant les grands mathématiciens grecs Pythagore, Archimède et Euclide :

- Les angles de la Grande Pyramide divisent la région du delta du Nil en deux moitiés égales.

- Les trois pyramides de Gizeh ont été arrangées de sorte à former un triangle pythagoricien, dont les côtés sont de proportions 3, 4 et 5.

- La proportion entre la hauteur de la pyramide et sa circonférence est égale à la proportion entre le rayon du cercle et sa circonférence.

- La Grande Pyramide est un cadran solaire géant. Les ombres qu'elle projette entre la mi-octobre et le début de mars reflètent les saisons et la longueur de l'année. La longueur des dalles en pierre autour de la pyramide équivaut à la longueur de l'ombre d'une journée.

- La longueur normale de la base carrée de la pyramide est égale à 365,342 yards égyptiens (une unité de mesure de l'époque). Ce chiffre est très proche du nombre de jours dans l'année solaire (365,224 jours d'après les calculs).

- La distance entre la Grande Pyramide et le centre de la Terre est équivalente à celle entre la pyramide et le Pôle Nord.

- Dans la pyramide, le périmètre de la base divisé par deux fois sa hauteur donne le nombre Pi.
- La surface totale des quatre côtés de la pyramide est égale au carré de sa hauteur.56

Et si on voulait reconstruire les pyramides...

En 1978, the Indiana Limestone Institute of America, Inc. -l'une des autorités mondiales en matière de calcaire -conduisit une étude de faisabilité intéressante afin d'apprendre quelle fut la taille de la main d'œuvre et quels types de matériaux auraient été nécessaires pour construire une pyramide similaire à la Grande Pyramide de Gizeh. Les responsables de la société décrivirent les difficultés rencontrées, remarquant qu'en triplant la production moyenne quotidienne, il n'aurait fallu pas moins de 27 ans pour extraire, fabriquer et expédier une telle quantité de calcaire. Sans oublier que ce travail aurait été effectué avec des moyens modernes américains, à savoir des marteaux hydrauliques et des scies à cristal électriques. L'extraction et le transport du calcaire demanderaient des efforts énormes, sans compter les tests en laboratoire et les autres travaux préparatoires nécessaires à la construction de la pyramide.57

Alors comment les Egyptiens ont-ils réussi à construire ces pyramides géantes ? Par quel pouvoir, par quelles machines, par quelles techniques ces terrasses de roche furent-elles mises en place ? Par quels moyens les tombes furent-elles creusées ? Par quel moyen s'éclairaient-ils durant les travaux ? (Aucune trace de suie ne fut découverte sur les murs ou les plafonds à l'intérieur des pyramides et des tombes). Comment les blocs de pierre furent-ils extraits des carrières et comment les différentes faces des blocs furent-elles aplanies ? Comment ces blocs, pesant plusieurs tonnes, furent-ils transportés ? Comment furent-ils assemblés à 1/1.000 de centimètre près ? La liste des questions pourrait s'allonger. Peuvent-elles trouver des réponses logiques et rationnelles à travers l'idée fausse évolutionniste de l'histoire de l'humanité ? Bien sûr que non !


La Grande Pyramide de Khéops (Khoufou) se compose d'environ 2,5 millions de blocs de pierre. En supposant que dix blocs ont été mis en place chaque jour, nécessitant par là un énorme effort de la part des ouvriers, il aurait alors fallu 684 ans pour placer les 2,5 millions de pierres. Or, on pense qu'il a fallu en moyenne 20 à 30 ans pour construire ce genre de pyramides. Ce simple calcul révèle que les Egyptiens disposaient d'une technologie très différente et très supérieure pour la construction des pyramides.

Au moyen de leur maîtrise de l'art, de la médecine et de la culture, les Egyptiens firent de l'Egypte antique une civilisation géante. Les travaux qu'ils laissèrent, les thérapies médicales qu'ils utilisaient et les connaissances et expériences accumulées en sont les quelques preuves. Des scientifiques affirment même que les travaux des Egyptiens -pour qui la construction des pyramides a dû être excessivement difficile, selon la thèse de l'évolution de l'histoire -étaient en réalité l'œuvre de visiteurs extraterrestres.

Cette dernière idée est, bien évidemment, particulièrement irrationnelle et illogique. Pourtant les évolutionnistes se cachent derrière elle étant donné que toute leur démagogie est incapable de proposer une meilleure explication. D'autant qu'il n'existe pas la moindre preuve de ce qu'ils avancent. Lorsque les évolutionnistes se rendent compte qu'ils ne peuvent pas offrir la moindre explication basée sur le hasard ou le processus de l'évolution, ils sortent immédiatement la carte "des visiteurs de l'espace". Cette idée ridicule émergea lorsqu'ils se rendirent compte que l'ADN dans le noyau cellulaire et la première protéine (fondement de la vie) étaient de loin trop complexes de par leurs structures extraordinaires pour être nés par hasard de substances inanimées. C'est pourquoi les visiteurs de l'espace ont dû apporter le premier organisme vivant sur terre et l'y laisser. Cette théorie est si ridicule qu'elle est révélatrice du désespoir des évolutionnistes.


Modèle probable de sarcleuse

Modèle actuel d'une sarcleuseLes édifices composés de mégalithes érigés par les sociétés passées indiquent qu'une machinerie similaire à celle utilisée dans le bâtiment moderne a dû être employée. La ressemblance entre cet ornement en or et une machine de construction est frappante. Découvert à Panama en 1920, on pense que cet objet était un pendentif. Cette découverte et d'autres réfutent l'idée évolutionniste de sociétés passées primitives. Des progrès technologiques ont permis une accumulation des connaissances indéniables au cours de l'histoire, mais cela ne signifie pas pour autant que les hommes vivaient comme des animaux dans le passé lointain. Les civilisations passées ont su répondre à leurs besoins en développant des machines diverses et adaptées.

 


TutaDétail du panneau arrière du trône royal de Toutankhamon au Musée Egyptien du Caire

La civilisation de l'Egypte antique, ainsi que toutes les autres, furent fondées par des hommes pourvus de raison et de volonté. Aujourd'hui, nous nous émerveillons d'objets remontant à 3.000 ans av. JC à propos desquels les scientifiques et experts débattent. Il faut comprendre avant tout qu'une civilisation remontant à 5.000 ans, dont les traces subsistent aujourd'hui encore, fut érigée grâce à une expérience et un savoir accumulés pendant des milliers d'années. En d'autres termes, les racines de cette civilisation remontent encore plus loin. Par conséquent, dans les temps très reculés, il n'existait pas d'hommes primitifs à moitié animal, sans parole, vivant uniquement de la chasse comme le prétendent les défenseurs de l'évolution de l'histoire. Depuis sa création, l'homme dispose des mêmes caractéristiques humaines comme l'intelligence, le sens de la beauté, la compréhension, la conscience et les valeurs morales.

 

UN MODELE DE PLANEUR DANS LES TOMBES DE L'EGYPTE ANTIQUE

Les vestiges laissés par de nombreuses civilisations passées indiquent que le transport aérien existait dans les temps très anciens. On peut en trouver des traces dans les ruines mayas, sur les pyramides égyptiennes et dans les écrits sumériens. Des informations dont nous disposons, nous pouvons déduire que les hommes construisaient et utilisaient des véhicules similaires aux planeurs, aux avions et aux hélicoptères il y a des milliers d'années.


Un modèle de planeur estimé remonter à 200 ans av. JC.

Les appareils ici représentés découverts sur la paroi duTemple Abydios par le docteur Ruth Hiver fascinent par leur ressemblance avec les hélicoptères et les avions actuels.

UN MODELE EN OR D'UN AEROPLANE DECOUVERT A NAZCA

Les vestiges d'un avion appartenant aux civilisations antiques n'ont pas seulement été découverts en Egypte. Le modèle ici représenté fut découvert dans une grotte en Colombie, en Amérique du sud. Daté à plus de 1.000 ans, il se trouve désormais dans l'Institut Smithsonien à Washington, D.C.
La structure aérodynamique de ce minuscule modèle, avec les projections sur les côtés du gouvernail sur la queue, est semblable à celle des avions modernes. Dans son livre, The puzzle of ancient man (Le mystère de l'homme ancien), Donald E. Chittick interprète ce modèle en or en ces termes :
"Bien sûr, il est possible de proposer une autre explication à cette découverte en dehors de la modernité technologique. Mais, lorsqu'on assemble toutes ces découvertes faites à la main et qu'on évalue soigneusement leur sens, une seule explication est possible : ces vestiges appartiennent à des civilisations avec une technologie avancée."58

LES DOGUS ETAIENT-ILS LES PILOTES DU PASSE ?

Les dogus sont des statues en argile mesurant de 7 à 30 centimètres de hauteur. A ce jour, 3.000 de ces statues furent découvertes et leur âge estimé varie de 300 à 10000 avant JC. Elles sont, par conséquent, plus anciennes que les civilisations antiques, telles que celle de l'Egypte ou celle des Sumériens. Les dogus furent fabriqués par le peuple Jomon, considéré comme les habitants les plus anciens du Japon. D'après les archives historiques, les Jomons furent la première civilisation à utiliser la céramique.59 Dans la grotte de Fukui à Kyushu, on a découvert un morceau de céramique remontant à 12.700 ans.

Les figurines de dogu sont très différentes de celles des autres civilisations antiques. Si on les examine soigneusement, leurs vêtements semblent présenter une variété de composants techniques similaires aux tenues portées par les pilotes et les plongeurs du premier quart du 20ème siècle. L'armure sur les statues dogu est apparemment articulée en divers endroits pour permettre le mouvement. Elle présente également des ouvertures pour la respiration. Les yeux sont protégés par des lunettes spéciales. Les mains sont couvertes par des gants retirables. Les casques sont conçus de manière intéressante : ils sont ronds, avec un mécanisme de respiration comprenant des tuyaux d'air et des casques pour les oreilles.

Ces personnages, remarquables par la ressemblance de leur tenue avec celle des pilotes et des plongeurs du 20ème siècle, suggèrent que les hommes du passé disposaient d'une technologie hautement avancée. Ces découvertes indiquent qu'il n'y eut aucun processus d'évolution au cours de l'histoire.
Dans le Coran, Dieu affirme que la civilisation au temps du Prophète Salomon (psl) était d'un niveau supérieur en matière de transport aérien et de plongée sous-marine. (Dieu est le plus savant.) Voici deux versets indiquant que les djinns servant le Prophète Salomon étaient des plongeurs :

Nous lui assujettîmes alors le vent qui, par son ordre, soufflait modérément partout où il voulait. De même que les diables, bâtisseurs et plongeurs de toutes sortes... (Sourate Sad, 36-37)

UN ORDINATEUR ANALOGIQUE DE DEUX MILLE ANS : UNE DECOUVERTE QUI CONFOND LE SCENARIO EVOLUTIONNISTE

En 1900, une découverte archéologique sous-marine majeure fut réalisée : celle d'une épave de bateau à l'entrée occidentale de la mer Egée entre les îles de la Crète et de Kythera. Ce bateau était chargé de figurines et d'amphores, aujourd'hui en morceaux.

La plupart des objets contenus dans le vaisseau avaient été fabriqués par des artistes grecs de la période pré-chrétienne. Parmi eux, il y avait un fragment de bronze calcifié dont l'usage était inconnu. Mais après des années de recherche, on comprit que ce mystérieux objet était en réalité un appareil scientifique étonnamment complexe.

Est représentée ici la roue à embrayage repêchée dans la mer Egée et appartenant à un ordinateur antique.

A mesure que cet appareil séchait, son vieux boîtier en bois et ses parties internes se craquelèrent, révélant quatre parties plates. Sur la partie interne d'une roue à embrayage trônait une inscription difficile à déchiffrer. Les scientifiques suggéraient que c'était un instrument de navigation. De nombreuses théories furent avancées à propos de cet objet sans aboutir toutefois à une conclusion claire. Les spéculations se poursuivirent jusqu'aux investigations en 1951 de Derek J. de Solla Price, professeur de Yale.

Afin de reconstituer l'appareil, Price et ses collègues grecs l'examinèrent au moyen de rayons X et de rayons gamma. A l'intérieur, ils découvrirent des couches d'embrayages de diverses tailles arrangées les unes au-dessus des autres. Après de longs calculs sur les proportions originales des embrayages, Price aboutit à une conclusion stupéfiante : les Grecs anciens avaient conçu un mécanisme pour reproduire les mouvements réels du Soleil, de la Lune et des planètes dans le passé, le présent et le futur. Ce mécanisme appelé "Antikythera" était un ordinateur analogique de 2.000 ans.60

Cette découverte confondit les affirmations des évolutionnistes stipulant que seuls des mécanismes rudimentaires étaient inventés et utilisés avant la période hellénique.
Le mécanisme, à l'origine en bronze, était à l'intérieur d'une boite en bois rectangulaire. A l'avant et à l'arrière, il y avait des portes en bronze sur lesquelles son inventeur-créateur avait inscrit des informations détaillées. Pour lire l'information apportée par l'appareil, il existait trois cadrans. Le premier contenait deux échelles, l'une d'elle représentant les signes du zodiaque, l'autre reprenant les noms grecs des mois de l'année.
*Le premier cadran montrait la position du Soleil chaque jour de l'année à mesure qu'il se déplaçait à travers le zodiaque.

*Le deuxième cadran montrait le cycle de 18 ans des éclipses solaires.

*Le troisième cadran représentait les différentes phases de la Lune.

Une poignée devait être manœuvrée une fois par jour pour faire tourner une roue de quelques 39 embrayages de bronze, emboîtés sur des plans parallèles. Cela faisait bouger une roue-moteur attachée à deux trains d'embrayages connectés à travers une plaque tournante à engrenage. La plaque tournante agissait en tant que train à embrayage différentiel et lorsque la poignée était activée, deux manches tournaient à différentes vitesses. Les embrayages différentiels, aujourd'hui utilisés dans les voitures modernes pour permettre aux pneus de tourner à différents taux de vitesses dans les virages, furent inventés seulement au 17ème siècle. Price décrivit l'appareil comme "l'une des plus grandes inventions mécaniques de base de tous les temps.61

Cette découverte eut des répercussions majeures dans le monde entier, notamment celle de renverser le schéma fictif des évolutionnistes concernant "l'évolution technologique". Selon les évolutionnistes, toute civilisation de plus de 2.000 ans n'était pas supposée disposer de technologie sophistiquée mais ne détenir que des outils simples et rudimentaires. Or, cet appareil inventé par un mécanicien de la Grèce antique montra que les civilisations du passé ne concordaient pas avec les théories des évolutionnistes. Les Grecs inventèrent un ordinateur céleste il y a des siècles et étaient plus avancés que de nombreuses civilisations médiévales. (Le premier ordinateur analogique fut développé en 1931 par Vannevar Bush.)62 Dans son livre, The puzzle of ancient man : Advanced technology in past civilizations ? (Le mystère de l'homme ancien : une technologie avancée chez les civilisations passées ?), Donald E. Chittick fait le commentaire suivant :

"Plus étonnante encore est la découverte d'un objet localisé dans un bateau ayant coulé en mer Egée avant l'époque du Christ. Il s'avéra être une sorte d'appareil de calcul mécanique. Les ordinateurs modernes sont de deux types : analogique ou digital. L'objet découvert sur le bateau coulé avant l'époque chrétienne était un ordinateur analogique relativement sophistiqué."63

Un article sur cette découverte écrit par Helena Smith et paru dans The Observer était intitulé : "Revealed : World's oldest computer (Révélation : le plus vieil ordinateur au monde)". L'extrait suivant est tiré de cet article :

… après la découverte d'un mécanisme en bronze incrusté de calcium dans les fonds de l'océan, des inscriptions cachées montrent qu'il s'agit du plus vieil ordinateur du monde, utilisé pour planifier les mouvements du Soleil, de la Lune et des planètes. "Nous sommes si près de la découverte de secrets", dit Xenophon Moussas, astrophysicien avec une équipe anglo-grecque étudiant l'appareil. "C'est comme un mystère concernant les connaissances astronomiques et mathématiques."… Michael Wright, ancien conservateur du musée des sciences de Londres… disait que l'appareil était la meilleure preuve du degré d'avancée technologique des anciens. "Le talent dénoté par cet appareil montre un niveau de fabrication d'instruments qui ne sera pas surpassé avant la renaissance."… De nombreux experts affirment que cela pourrait changer la manière d'écrire l'histoire de la science. "De plusieurs façons, c'était le premier ordinateur analogique", dit le professeur Theodosios Tassios de l'Université Nationale Technique d'Athènes. "Cela changera la manière dont nous regardions les accomplissements technologiques des anciens."64

Ces commentaires d'experts sont très significatifs. Il fallut près de 20 siècles aux hommes pour élaborer un ordinateur similaire au mécanisme Antikythera. Il y a 2.000 ans, les Grecs savaient construire un ordinateur analogique. Tout cela montre que les hommes qui vécurent il y a longtemps avaient un niveau de civilisation très supérieur à de nombreuses sociétés leur ayant succédé -c'est là un fait que l'évolution ne peut expliquer.

Il existait certainement des civilisations arriérées alors que les Grecs antiques jouissaient de leur civilisation avancée. Le fait que certaines sociétés avancées coexistent avec des civilisations moins développées n'indique pas que l'humanité est une espèce descendant des singes ni qu'une société s'est développée à partir d'une autre, comme veulent nous le faire croire les darwinistes. Cette interprétation sous-informée va à l'encontre de la science et de la logique.

L'ELECTRICITE EXISTAIT-ELLE EN EGYPTE ANTIQUE ?

Les reliefs dans le temple de Hathor à Denderah évoquent la possibilité que les Egyptiens connaissaient et utilisaient l'électricité. Un examen soigneux de ce relief permet de conclure que des isolants de haut voltage ont dû être utilisés à l'époque. Une forme assimilable à une ampoule est soutenue par un pilier rectangulaire (appelé pilier Djed et qu'on suppose être un isolant). La ressemblance entre le relief et les lampes électriques est frappante.  Lors d'une analyse d'objets métalliques égyptiens en 1933, le Dr Colin G. Fink -qui inventa l'ampoule électrique à filament tungstène -découvrit que les Egyptiens connaissaient une méthode de placage d'antimoine sur le cuivre, il y a 4.300 ans. Cette méthode permet d'obtenir les mêmes résultats que l'électroplacage.65 66. http://www.unsolved-mysteries.net/english/earchiv/e8archivobj005.htm

Les scientifiques ont testé le système décrit dans les reliefs pour déterminer s'il a pu émettre de la lumière. L'ingénieur électrique autrichien Walter Garn étudia les reliefs en détail pour reproduire l'isolant du pilier de Djed, l'ampoule et le fil entortillé. Le modèle qu'il fabriqua fonctionnait et permettait d'émettre de la lumière.66

Un autre élément qui pointe également vers l'existence de l'électricité en Egypte antique est l'absence totale de traces de suie sur les murs intérieurs des tombes et des pyramides. S'ils avaient utilisé des torches ou des lampes à huile pour s'éclairer, comme le soutiennent les archéologues évolutionnistes, alors des traces de suie auraient dû être laissées. Pourtant, nulle part il n'en existe, même dans les chambres les plus profondes. Sans un éclairage approprié, il aurait été impossible de poursuivre la construction et encore plus de peindre les magnifiques fresques sur les murs. Cela renforce la possibilité de l'usage de l'électricité en Egypte antique.


La ressemblance entre les ampoules modernes et celles des reliefs provenant du temple de Hathor à Denderah fascine les scientifiques

En réalité, même le Coran laisse penser que le transport aérien était déjà existant depuis longtemps :

Et à Salomon Nous avons assujetti le vent, dont le parcours du matin équivaut à un mois et le parcours du soir, un mois aussi... (Sourate Saba, 34 : 12)

Il est très probable que les longues distances dont il est question dans ce verset aient été couvertes rapidement du temps du prophète Salomon (pbsl). Ces déplacements ont pu être effectués grâce à des véhicules fonctionnant à l'énergie éolienne utilisant une technologie similaire à celle existant dans les avions aujourd'hui. (Dieu est le plus savant.)

Ce modèle de planeur découvert en Egypte représente une preuve de la connaissance du transport aérien par les civilisations passées. Ce planeur découvert en 1898 est daté de 200 ans avant JC. Cette découverte de 2 200 ans est tout à fait remarquable et ébranle complètement la conception évolutionniste de l'histoire. Des éléments encore plus intéressants apparaissent lorsqu'on examine les caractéristiques techniques du modèle. La forme et les proportions des ailes du modèle en bois furent conçues de sorte à donner à l'avion la poussée maximale en limitant la perte de vitesse, comme dans le Concorde. Cela consolide l'idée que les Egyptiens étaient très versés en aérodynamique.


Le pilier de Djed, fréquemment représenté dans les fresques égyptiennes, symbolise peut-être un appareil électrique. La colonne aurait servi de générateur, fournissant ainsi de la lumière.

 

43. Moustafa Gadalla, Historical Deception: The Untold Story of Ancient Egypt, Bastet Publishing, Erie, Pa., USA, 1996, pp. 295, 296
44. Interview with Dr. Zahi Hawass, Director of the Pyramids, http://www.pbs.org/wgbh/nova/pyramid/excavation/hawass.htm
45. Gadalla, Historical Deception, p. 29
46. http://www.amonline.net.au/teachers_resources/background/ancient_egypt04.ht
47. Afet ?nan, Eski M?s?r Tarihi ve Medeniyet (Histoire de l'Egypte Antique et de sa civilisation), Ankara: Türk Tarih Kurumu Bas?mevi, 1956, p. 318
48. Ibid., p. 87
49. Ibid., p. 201
50. James Henry Breasted, Ancient Times or A History of the Early World,1916, p. 64
51. Moustafa Gadalla, Egyptian Harmony: The Visual Music, NC: Tehuti Research Foundation, 2000, p. 64
52. http://www.waterhistory.org/histories/cairo
53. Gadalla, Historical Deception, p. 11
54. Ibid., p. 116
55. Ibid
56. The Eyes of the Sphinx, NY: Berkley Publishing Group, 1996, pp. 118-119
57. 2 Nova Productions, Who Built the Pyramids, www.pbs.or
58. Donald E. Chittick, The puzzle of ancient man, pp. 109-11
59. The six thousand year old space suit (Une combinaison de l'espace remontant à 6.000 ans), Vaughn M. Greene, préface de Zecharia Sitchin.
60. http://www.dreamscape.com/morgana/triton2.htm
61. Ibid
62. Encyclopaedia Britannica Online ; www.britannica.com/eb/article-9018261/Vannevar-Bus
63. Donald E. Chittick, The Puzzle of Ancient Man: Advanced Technology in Past Civilizations?, Creation Compass, 1998, pp. 34-3
64. "Revealed: world's oldest computer", Helena Smith, The Observer, 20 août 2006 ; http://observer.guardian.co.uk/world/story/0,,1854232,00.html. Est représentée ici la roue à embrayage repêchée dans la mer Egée et appartenant à un ordinateur antique
65. William R. Corliss, Ancient Man: A Handbook of Puzzling Artifacts,Maryland: The Sourcebook Project, 1978, p. 443
66. http://www.unsolved-mysteries.net/english/earchiv/e8archivobj005.htm

Commentaires (1)

Anonyme le 14/11/2018
Voir bible psaumes vous verrez la demande d aide aérienne et l arrivée d un avion crachant du feu de ses naseaux et lançant des missiles sur les ennemis d Israël


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